La sagesse de guérir

Guérir demande de la sagesse. Les maladies aiguës vont être indispensables pour que l’enfant grandisse. La rougeole va apprendre à l’enfant l’autonomie, la varicelle va l’aider à stabiliser ses émotions, la rubéole à prendre la responsabilité de ses actes, la coqueluche à dépasser l’autorité du père quand elle est abusive, et il en va ainsi de toutes les maladies infantiles, elles sont majeures et ne sauraient être annulées par un vaccin. L’interdiction de ces maladies par une injection vaccinale est une catastrophe. Dans le cas de la rougeole par exemple, si elle est bloquée, son interdiction va prédisposer le futur adulte au risque d’une sclérose en plaques qui est la maladie emblématique de la non-autonomie et de la dépendance à l’éducation parentale. Toute maladie est un message de notre biologie, nous nous exprimons par des mots, nos cellules s’expriment par des symboles. Tout organe va avoir son message spécifique. Se battre contre une maladie est à mon sens la pire décision que nous puissions prendre. Par l’intermédiaire de nos microbes, cette dernière n’a qu’un but, nous maintenir en vie par l’intermédiaire de son message d’alerte. Tout organe va avoir un rôle biologique et un rôle symbolique précis. Ses rôles sont tellement précis que tout organe mal employé symboliquement va tomber malade, la nature refuse ce principe-là. La maladie est un message de notre corps, pour nous permettre de prendre conscience que quelque chose dans notre vie ne va pas ! Ce message de votre corps au début va vous le chuchoter en un malaise, ensuite vous le dire en une maladie aiguë, vous le répéter sans cesse en une maladie chronique, et pour finir vous le hurler comme un dernier avertissement en une maladie auto-immune ou un cancer.