Le diadème de beryls

Un banquier très respecté, Sir George Burnwell (Burnwell = criminel ; le banquier est Alexander Holder), confie à Sherlock Holmes un des trésors les plus précieux du royaume : le diadème de béryls, un joyau royal qu’il doit garder en sécurité pour une nuit. Paniqué, il raconte que le bijou a été retrouvé brisé et qu’une partie des pierres manque. Pire encore : toutes les preuves semblent accuser son propre fils, Arthur, surpris à proximité du coffre. Holmes se rend chez Holder pour examiner la scène de près. Il découvre rapidement que la jeune et mystérieuse Mary, la pupille du banquier, joue un rôle ambigu, prise dans l’influence d’un séducteur dangereux : Sir George Burnwell. Arthur, croyant sauver Mary, avait tenté de la protéger sans révéler l’affaire à son père, ce qui l’a fait passer pour le coupable idéal. Grâce à son raisonnement minutieux, Holmes révèle que le véritable voleur est Sir George Burnwell, qui a manipulé Mary et s’est enfui avec les pierres manquantes. Le scandale est étouffé, le fils est innocenté, mais l’affaire laisse le banquier brisé par la trahison de sa protégée et la honte d’avoir douté de son propre enfant.